Au-revoir au Sotré et à sa sympathique équipe, pour rejoindre la crête, où la nature nous a très vite rappelés que c’est elle qui décide. Nous avons eu le temps d’admirer le Lac de Longemer, le sommet du Hohneck, puis très vite, la tempête nous a envoyés de la neige et du grésil à l’horizontale, et les rafales à plus de 100 km/h (si, si) nous déstabilisaient à chaque pas.
Dire qu’entre 1904 et 1940, un tramway venu de Gérardmer permettait de monter sans effort au Hohneck…
Pause déjeuner au sec au refuge des Trois-Fours avec les affaires trempées à enlever provisoirement, tout en guettant la météo. Il a fallu se rendre à l’évidence, et la raison et le professionnalisme de l’animateur nous ont fait renoncer au grand tour prévu. Trempés, le visage rougi par la neige envoyée à toute vitesse, nous voilà sur la voie de la sagesse, à rejoindre les voitures.
Avec au passage un petit moment qui nous a fait espérer le retour des paillettes de la période disco, une couverture de survie pouvant avoir des usages multiples !
- Depuis la fenêtre du dortoir, le Lac de Longemer
- C’est parti sur l’ancien tracé du tramway
- On aperçoit le sommet du Hohneck
- La crête
- Le Hohneck
- Tout là-haut
- Vue sur le Lac de Longemer
- La neige est profonde…
- … en sortir est sportif !
- Sur les Hauts de Falimont
- Un autre groupe dans le brouillard
- Se mettre à l’abri du vent…
- Entrée dans la forêt
- Un peu moins de vent
- Vers les Trois-Fours
- Arrivée aux Trois-Fours
- Les Hauts de Falimont
- Arrivée aux Trois-Fours
- Arrivée aux Trois-Fours
- A la bonne soupe, aux Trois-Fours
- Stationnement interdit et… impossible
- Le retour du disco sur la Route des Crêtes !