Le pompon (alors celui-là aussi, à écrire les « on » de deux manières différentes, on en reparlera), le pompon donc, l’apothéose qui contrairement à ce que ton esprit palmipède me suggère n’est pas une maladie mais plus modestement le deuxième acte, quoi, c’était le final au château de Lichtenberg. Alors là tu tapes atchoum Hanau-Lichtenberg, forteresse, guerre 1870, pour la partie historique qui… Hein ? Quoi, oui atchoum ! Hashtag ? Quoi c’est ça ? Donc tu relis le tout et tu mets hashtag au lieu de atchoum. Tu peux pas dire « touche dièse » le # ? Que je l’ai chopé par hasard en me faisant une entorse de l’auriculaire droit qui s’est emmêlé avec son voisin ? Bref.
Donc les gens du château ont eu l’idée d’y organiser une soirée de l’horreur. Perso j’en ai pas besoin, j’attends simplement de faire ma déclaration des revenus, mais ça tombe pas au même moment.
Donc nous voilà dans un château entier et… Euh non pas entier, ça se saurait. Hanté, pardon. Animation assurée par nos apôtres d’Alsarando. Dès le départ, nous fûmes ensorcelés par le retour aussi émoustillant que peu mystique de Sœur Marie-Grognasse de la Perpétuelle Constatation (dite SMG-PC). Puis dans la famille Ula, après Drac, nous avons eu Franck. Le frère de Dracula. T’attends pas à ce que j’écrive son nom complet ici, je ne saurais être traitée de vulgaire compterendutrice.
Et enfin nous eûmes droit à ce que l’on nomme ici un riméke. Enfin un « remake ». Tu connais Spiderman ? Ben si, le gars avec des pectoraux que même toi au bout de six mois de muscu tu les envisages pas. Tu sais celui qui sort des fils depuis ses poignets et splltchhh, il t’attrape et te sauve de la chute dans le vide. Et là tu l’embrasses, tu l’étreins, tu le divinises, tu le vois déjà sous ta couette, tu le conquiers (casse-gueule comme verbe), tu le subjugues, tu l… Sauf que lui il est déjà parti sauver une ingénue en train de se faire chourer son tube de rouge à lèvres par Catwoman, tu sais, celle… OK, OK, on verra ça une autre fois.
Bref, une belle soirée entre lumière, gore, frayeurs… Que du bonheur (sauf que l’autre a cassé un verre, on en a pour sept ans). Karina-Iris
Karina-Iris





















































