Les Etangs du Coucou et des Framboises

Poursuite de l’opération décrassage au départ du parking juste au-dessus de Fréconrupt. Dès le début, une certaine méfiance s’est installée : nous ne cessions de descendre. Ce qui signifiait qu’un jour ou l’autre nous devrions remonter. En attendant, il fallait profiter de ce parcours facile entre forêts et prés, par Malplaquet et la Maison Forestière du Coucou. Nous n’avons pas entendu le son particulier de l’oiseau en question, mais plutôt les glouglous mélodieux de dindons partagés entre affolement et défense de leur territoire. Et voici une première fois l’Etang du Coucou (toujours sans l’oiseau), avant la vraie bonne montée de la journée, vers le Marais de la Maxe, une tourbière aujourd’hui protégée, après avoir été exploitée à la fin du XIXème siècle.

Cap sur l’Etang des Framboises et on vous le dit tout de suite : aucune framboise à l’horizon. Mais un petit plan d’eau entourant un joli îlot, et faisant partie du système d’alimentation en eau d’une ancienne scierie. Puis retour à l’Etang du Coucou qui du coup nous a parus bien plus grand ! A défaut du cri caractéristique du fameux oiseau, nous avons entendu des sons enchanteurs caractérisant l’extraction d’un morceau de liège d’un contenant en verre, suivi d’un glouglou évocateur et cependant bien éloigné de celui produit par les dindons précédemment croisés. C’était la pause déjeuner.

Une lente et facile montée nous a menés au village de Salm pour le retour d’abord vers l’Abri des Trois-Planchers, puis vers Fréconrupt.

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