Week-end 3/3 : Le Creux du Van

Et un nouvel effet géologique gigantesque, le Creux du Vent. Partis de bon matin… Comment ça c’est pas juste ? C’est le Vent du Creux ? Bon alors… partis de bon matin, nous voilà… C’est fini de m’interrompre tout le temps ? Quel Van ? Ah bon, ça s’écrit Creux du Van ? Quelle idée, après Poëta Raisse, maintenant Creux du Van. Et pourquoi pas Le Roux de la Combe à Luzier ? (celle-là faut chercher, du côté de chez Schindler…).

Bon du coup, nous en étions où ? Ah oui, partis de bon matin pour le Creux du VAN (là, content ?), et puis zut, même plus envie de raconter, maintenant.

Bref, une journée pas ordinaire où nous avons vu un faux-ours mais un vrai bouquetin, des… Oui des chèvres, mais aussi un bouquetin, je sais ce que je dis quand même ! Oui donc nous avons aussi vu des vaches, des vraies et même pas mauves (et sans marmottes pour emballer le chocolat), et des… Oui des chèvres, c’est écrit, faudrait lire de temps en temps ! Et donc… quoi déjà ? Ah oui, des Toblerones géants. Eh ben si ! Ça va là ? Pas d’autres réclamations ?

Nous avons même été sur les pas de Jean-Claude Rousseau, le célèbre écrivain français du… Quoi encore ? Jacques qui ? C’est pas Jean-Claude ? Et alors, il aurait pas eu le droit de s’appeler Jean-Claude, le mec ? Bon alors soit, de toute manière vous avez décidé de me pourrir l’article, alors Jean-Jacques Rousseau, le mec du 18ème trou au golf… Pardon, du 18ème siècle.

Y’avait encore plein de choses à raconter mais si c’est pour se faire retoquer à chaque fois…

Et ensuite après le Creux du Machin, les bestioles et le mec, eh bien nous sommes retournés en France tant que les tests PCR étaient encore valables. Merci Damien pour ce merveilleux week-end !

Hein ? Ah il s’appelle Denis ? Alors merci DENIS pour ce merveilleux week-end organisé de main de mètre ! (oui je sais, y’a une faute et alors ?)

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